Préserver, recycler...
Certaines préconisations sur le chauffage (notamment les températures optimales de chauffage) sont très liées à la notion de confort thermique. Le confort thermique correspond à une "sensation de bien être" parfois difficile à définir puisqu’il dépend, entre autres, du facteur humain, variable d’un individu à l’autre (en fonction de paramètres tels que son métabolisme, son habillement, son état de santé, son activité…).
Des facteurs extérieurs peuvent également influencer le confort thermique d’un individu comme la température d'une pièce, la vitesse de l'air ou l'humidité.En définitive, la personne la plus apte à définir son sentiment de confort… c’est vous ! Essayez, grâce aux conseils donnés dans cette fiche de trouver le meilleur compromis entre confort et économies.
Une fenêtre perd jusqu'à 10 fois plus de chaleur qu'un mur de même superficie. L’installation de double vitrage récent permet de diminuer les pertes de chaleur et d’améliorer le confort en diminuant la sensation de paroi froide à proximité des fenêtres.
Une simple feuille plastique de 3 mm d'épaisseur fixée sur les boiseries avec de l'adhésif double face permet de gagner quelques degrés :
Utilisez des joints d’étanchéité ou de la mousse isolante pour boucher les espaces et interstices des murs. N’oubliez pas de nettoyer les trous de ventilation et ne les bouchez pas, vous pourriez engendrer des problèmes importants d’humidité. Le calfeutrement des fenêtres (joints, mise en place d’un rideau épais) peut permettre de réaliser une économie d’énergie évaluée en moyenne à 5 % en habitation collective et à 8 % en individuelle.