Ce projet (d)étonnant, décrit par Libération comme « l’un des groupes de rock français les plus originaux du moment », sera précédé de la projection dans la grande salle du documentaire dédié au groupe, L’énergie positive des Dieux, avant le concert à la Petite Coopé.

« De l’énergie pure et dure » (France Inter). « Une écriture passionnée et libératrice qui n’a cure de la norme ni de la bienséance » (Manifesto XXI). Les médias ne tarissent pas d’éloges sur Astéréotypie, groupe de post-punk énergique tirant parfois sur le garage-rock ou le noisy. Né en 2010, ce collectif explosif revient avec un troisième album, une expédition à haute intensité affective faite de textes atypiques et de phrasés lunaires. Croiser Astéréotypie, ça secoue. Ça fait bouger les jambes quand ça s’élance, ça désarticule les bras à chaque scansion ou rupture de tempo, ça fait hurler en chœur à s’en froisser les cordes vocales, et ça fracasse les a priori, pour peu qu’il en reste. Aucun groupe ne ressemble à Astéréotypie dans la Drôme, ni sûrement même dans le monde…

Le documentaire diffusé en première partie, L’énergie positive des Dieux, sera également projeté au Lieu-Dit (ex-Petit Vélo), dimanche 29 janvier à 18 h, dans le cadre de la semaine de programmation signée Biscuit Prod. Sur place (ou à la Coopé sur présentation d’un justificatif), une offre tarifaire spéciale sera proposée au public souhaitant assister au concert du 1er mars.